Sunday, December 22, 2013

Illinois (2) : Atlanta I


Aujourd'hui, Atlanta. Atlanta dans l'Illinois (rien à voir avec le hub de Géorgie) - 1700 habitants environ, mais sans doute une plus grande densité de bonheur que dans les grandes métropoles. 



Le style des rues vous plonge un peu dans un western. 



Notre Denise fait sa sieste sous des bâtiments colorés. 



L'un des fameux géants de l'Illinois vous propose son hot-dog. 



La voiture de Lucky Luke. 



Ah, ces murs à la peau pelée.



God bless the Uncle Sam. L'Amérique profonde, c'est profondément l'Amérique. 



Auvents sous lesquels on peut déambuler plein de rêves de westerns. 



Aucune hystérie dans ces villages très calmes. 



Quel charme, quel charme, de ces villages calmes au fond des Etats verts et paysans, mais encore connectés aux routes, et par où le béton a tout de même fait son chemin ; aussi vrai que cela fait longtemps que l'Amérique est moderne. 



Semblant d'allure de ville fantôme par endroits : personne dans les rues, fenêtres parfois fermées, façades de bois et ombre des auvents. 



Rues très enneigées l'hiver. Les saisons sont plus marquées de ce côté de l'Atlantique que du nôtre (côte Pacifique exceptée, puisqu'il fait toujours beau à LA). 



Si vous pensez que ce camion ne sait pas porter le blé, le maïs, le fourrage, le bois, les foins, les barrières de champs, le matériel agricole, et les enfants pour aller à la fête du village voisin, vous êtes bien naïfs.



Poésie des rails, qui sont un ailleurs ici. C'est par là que le blé, que le maïs partent dans les hamburgers californiens. 



Il n'y a pas si longtemps, ces voitures étaient des chevaux. 



L'église d'Atlanta, château de briques pour Dieu. 



Ah, et puis un barber shop bien classique. Vous reconnaissez ses spirales blanches, bleues, rouges - dont le psychédélisme vous donne presque envie d'être bouclé. 



Et puis, pour donner une petite idée de ce qu'est la vie des gens d'Atlanta (les Atlantistes?), quelques maisons. 



Le drapeau attend la brise qui viendra le faire flotter pour crier "Amérique!" dans le silence du vent.  



J'ai été sensible au charme de ces rues larges, sans réelle séparation entre la chaussée et le trottoir, qui renforce tant l'impression de naturel et d'harmonie qui se dégage d'un village de roman. 



Le rockin' chair sur le balcon. Ce n'est pas un meuble, c'est une institution. 



Charme (comment cesser d'utiliser ce mot quand le nom d'Atlanta se trouve mêlé à nos paroles?), de ces maisons de bois colorées, si américaines. L'Amérique, ce ne sont pas que des blocks de béton dans les métropoles des films hollywoodiens ou des décors en carton pâte: elle se dit aussi en langage poétique - celui des planches, de la peinture et de l'histoire !



L'échelle sur le mur. Sûrement pas pour monter au créneau. 



La végétation mène sa danse de feuilles autour des bois architecturés des maisons. 



Habitant d'Atlanta, sais-tu que peut-être plus d'un Français rêve à ta vie de l'autre côté du monde ? ... 


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